Visible encore ce week-end les 4, 5 et 6 juin de 10h à 18h. J’y serai.
Archives de catégorie : installation
Les 3 stères Sentiers d’Art Condroz Famennes (Gesves) Résidence d’artiste mai 2022
Cette installation comprend 3 cubes réalisés en structure métallique, représentant chacun 3 stères de bois (mesure de stockage) et disposés dans l’espace de façon aléatoire. Ces cubes contiennent chacun 3 jeunes arbres.
Par cette installation inviter le spectateur à observer l’évolution de la croissance de l’arbre et la place qu’il occupe dans le cube au fil des années.
L’abattage intempestif des arbres dans le monde et sa déforestation rompent l’équilibre qui nous envoie sans cesse des signes d’alarmes (inondations, éboulement,…)
Cette réalisation amène un questionnement.
Pourquoi faire pousser des arbres dans ces structures ?
Ces cubes représentent la civilisation, toujours plus envahissante, l’habitat, etc.
La nature voit son environnement de plus en plus restreint, mais elle s’adapte et survivra certainement à l’homme. Les arbres ne peuvent s’empêcher de grandir en faisant corps avec les cubes, en l’englobant.
Galerie DETOUR à Jambes – Exposition EN TROIS TEMPS Vernissage le mardi 25 mai à 18H30.
Expositions de juin 2016
Exposition du Prix artistique du Hainaut 2016 au musée des Beaux-Arts de Tournai
Eternel éphémère
Ma prochaine exposition/installation « Eternel éphémère » débute ce prochain samedi 21 février au Magasin de papier à la rue de la clé, 26 à MONS. Le vernissage a lieu samedi à 19h et l’exposition sera ouverte tous les jours de 12h à 18h sauf le lundi.
Pour l’occasion, j’ai sorti un petit livre « Chorégraphie végétale » qui rassemble une bonne partie de mon travail depuis 10 ans. Il sera disponible durant l’exposition.
Je passerai régulièrement afin de gérer les installations. J’espère vous rencontrer à un de ces moments.
Bastogne – L’Orangerie – Juillet 2012 – Installation végétale sur l’eau
Vouilles secrètes
Triennale internationale des Arts textiles Tournai
Après une édition consacrée au Japon (2005) et une autre dédiée à l’Italie (2008), la Triennale internationale des Arts textiles contemporains de Tournai s’ouvre sur le monde entier.
Et expose les œuvres rares d’une quarantaine d’artistes issus des cinq continents dans les lieux prestigieux de la ville: la cathédrale Notre-Dame (classée au Patrimoine mondial de l’humanité!), la Halle aux Draps, l’église du Séminaire épiscopal, le Musée des Beaux-Arts… et d’autres lieux chargés d’histoire qui entrent en dialogue avec la richesse de la création textile contemporaine, passé contre présent. Ce qui offre la cohérence à l’ensemble? Une réalisation d’une finesse incroyable, tant du côté architectural que dans les objets de tissu. De la belle ouvrage, comme on dit. – A.N. (source)
On a du mal à imaginer ce qu’il y a d’heures de quête extravagante, de voyages accomplis et de travail opiniâtre pour aboutir à cette œuvre monumentale, réalisée au crochet par les mains sans repos de l’artiste glaneuse-ravaudeuse, Caroline Léger.
Mettons bout à bout les heures de confection en continu (deux pauses de 12 heures sept jours sur sept) dans quelques-uns des 10.000 ateliers du district de Datang au sud de Shangaï, nécessaires à la fabrication, sur des machines informatisées (sud-coréennes), des centaines de paires de chaussettes, dont seules des orphelines composent cette robe-chaussettes, puis ajoutons-y les heures de manutention aux phases finition, vérification qualité (entièrement à la main) et conditionnement, avant que les lots par mille paires de chaussettes ne quittent l’ « atelier du monde » et ne soient débarqués en Occident et acheminés dans des centres de distribution avant de parvenir, enfin, dans les grands magasins où toutes ces chaussettes, socks, calcetines, sokken, Strümpfe, meias, calzini, hockn sont mises en rayon par des mains amnésiques, qui ne savent plus rien de l’art du tricot et des ouvrages manuels qui naguère occupaient pourtant les mains noueuses de leurs grand-mères, ferraillant des soirées durant à extraire du maniement expert d’un jeu de 4 aiguilles des chaussettes sur mesure, sans coutures, à l’épreuve de l’usure, certes moins élastiques et moins fantaisie que les chinoises d’aujourd’hui, mais comportant un pied gauche et un pied droit, un talon renforcé et un cou de pied digne de ce nom.
l’Ô du rêve
La 2e édition de la rencontre d’art «L’Ô du Rêve», manifestation de sculptures flottantes ou installations sur les berges, se déroulera sur le canal Ath-Blaton à deux pas du centre ville (zone comprise entre le Pont Carré jusqu’à la passerelle située près de la Floridienne – env. 900m).
12 projets d’artistes amateurs et professionnels surprendront les visiteurs par leur imagination, leur poésie, leur ingéniosité et parfois leur humour.[album id=2 template=compact]